SHAREWARES
LES LOGICIELS SHAREWARES
Bien que d’excellents et nombreux freewares aient été consacrés à Othello, la licence payante amène parfois un plus non négligeable. Nous verrons que c’est rarement sur le plan du moteur de réflexion ; il est clair d’ailleurs que les programmes les plus puissants, de ce point de vu, sont tous des gratuits. Le gain, s’il y en a, se traduira plutôt en terme de… disons de luxe : apparence plus soignée, ergonomie et confort d’utilisation amélioré, enrichissement par de nouveaux modes de jeu…
Classer les sharewares était plus difficile que les gratuits parce que les limitations et les prix sont extrêmement variables et que ces deux éléments sont pris en compte dans la note. J’ai essayé, dans la mesure du possible, de les intégrer objectivement dans ma pesé, en appliquant le simple principe suivant : moins il y a de limitation au programme, plus le bonus de points est élevé.
Comme je n’avais pas l’intention d’acheter toutes les licences, il m’a été impossible, dans certains cas rares, de tester la force d’un programme, les niveaux les plus forts étant inaccessibles.
Ce chapitre contient trois sections :
Les meilleurs programmes – Ceux qu’il est éventuellement recommandé d’acheter
Les programmes moyens – Ceux qui présentant un intérêt malgré leurs défauts
Les programmes sans intérêt - Les titres de ce groupe ont bien peu d'atoûts....